Programme de l’édition 2018

Du 22 au 24 juin 2018

Hôtel de Ville de Paris
5 rue Lobau
75004 Paris

Vendredi 22 juin 2018

Foyer

18h00-19h00
Conférence de presse

19h00-19h10
Ouverture

19h10-21h00
Buffet d’inauguration
En présence des participants, de l’équipe du forum et de la Biennale de Paris.

Pendant toute la durée du forum

Stand de l’association des Artistes Postérieurs
Ouverture du stand par Florian Brochec (France) et Adèle Singh (France)
Association des Artistes Postérieurs

Stand de l’Après
Ouverture du stand par Michel Schalamon (France), Collectif de l’Après

Point d’information
Le forum met à disposition des participants et des publics un point d’information avec
une documentation sur les propositions présentées durant le Forum mondial des économies de l’art (FoméA).

Samedi 23 juin 2018

Salle de Commission 3

10h00-11h30
Présentation d’économies alternatives au marché de l’art
Conférence par Alexandre Gurita, artiste et directeur de la Biennale de Paris et de l’École
nationale d’art de Paris (ENDA)

11h30-13h00
La dimension économique des pratiques invisuelles
Conférence par Corina Mila, Indépendante et Chercheuse associée à l’École nationale
d’art de Paris (ENDA)

14h00-15h30
La propriété intellectuelle dans une pratique sans oeuvre d’art
Table-ronde avec Maxime Bréfort, avocat
Antoine Moreau, artiste enseignant-chercheur
Florian Brochec et Adèle Singh, Artistes Postérieurs

Modération : Gary Bigot, artiste

16h00-17h30
Imaginez des futures économies de l’art !
Table-ronde animée par Coraly Suard, artiste
Avec Elodie Ternaux, consultante en matériaux innovants
Olivier Landau, président de l’IRI (Institut de Recherche et d’Innovation)

18h00-19h30
Alter Economy
Conférence avec Rose Marie Barrientos, Critique et historienne de l’art, membre fondateur
de la ligne de recherche Art & Flux de l’Université Paris 1 – Sorbonne

Salle Tignous

10h00-11h30
Économie de la Matériosophie
Conférence par Ariel Kupfer, artiste et directeur du musée caché

14h00-15h30
La singularité économique
Conférence par Ludovic de Vita, artiste et directeur de l’IRISA (Institut de Recherche en Anthropologie
de la Singularité)

16h00-17h30
Singulariser son économie
Atelier par Ludovic de Vita, artiste et directeur de l’IRISA (Institut de Recherche en Anthropologie
de la Singularité)

18h00-19h30
Formuler des économies parallèles au marché de l’art
Atelier avec Alexandre Gurita, artiste et directeur de la Biennale de Paris

Auditorium

14h00-15h30
Paris et ses économies
Débat avec Frédéric Hocquard, Adjoint à la Maire de Paris chargé de la vie nocturne et de l’économie
culturelle et Alexandre Gurita, artiste et directeur de la Biennale de Paris

16h00-17h30
Des pratiques artistiques indépendantes du marché de l’art
Table-ronde avec
Jean-Daniel Berclaz, artiste
John Hamon, artiste
Ariel Kupfer, artiste et directeur du musée caché
Ricardo Mbarkho, artiste et professeur à l’Ecole des arts visuels de l’Académie Libanaise des
Beaux-Arts (ALBA), Université de Balamand
Jean-Louis Poitevin, Philosophe et rédacteur en chef de la revue TK-21

Modération : Alexandre Gurita, artiste

Dimanche 24 juin 2018

Salle de Commission 3

11h30-13h00
Survivre au marché de l’art et innover dans son modèle économique
Conférence et atelier par Valérie Arconati,
Conseil en gestion de projets culturels, Présidente de l’association Casoart

14h00-15h30
Le monde de l’art, un secteur économique à part entière
Table-ronde avec Jérôme Poggi, Les nouveaux commanditaires
Sylvain Sorgato, Cacahuète d’Or 2016, artiste et commissaire d’exposition

16h00-17h30
La place de l’économie dans les écoles d’art
Table-ronde avec Hugo Beheregaray, étudiant à l’École Nationale Supérieure d’Arts de
Paris-Cergy (ENSAPC)

Modération : Serge Foutrier Bielakoff, Enseignant technique à l’ENSAD et à l’École Boulle

18h00-19h30
Infraposte : exclusivité économique
Conférence et débat par Baptiste Pays, Responsable de l’agence Global Screen Shot (G.S.S.),
Jacques-Antoine Ribas, artiste

Salle Tignous

10h00-11h30
Réseautage
Ateliers réservés aux participants du forum au cours desquels ils auront l’occasion de se rencontrer
et d’échanger voire de développer des projets communs.

11h30-13h00
Ecritures protocoles
Workshop mené par Michel Charmasson, Recherche Expérimentation Demonstration (RED)

14h00-15h30
Poetry Inc. et la désobéissance économique
Conférence avec Vienne Chan, artiste

16h00-17h30
Une économie affranchie
Conférence par Gary Bigot, artiste

18h00-19h30
AIR et l’AIRgent
Conférence par Alain Ginstzburger, Secrétaire générale de l’Agence AIR (Agence Internationale
de remplacement)


Accès

Le forum mondial des économie de l’art (FoméA) se tiendra dans les sous-sols de l’Hôtel de Ville de Paris.

Accès :
5 rue Lobau
75004 Paris
Métro : Hôtel de Ville (lignes 1 et 11)
Vélib : station 4103 et 4016
Bus : Hôtel de Ville (lignes 47, 70, 72, 74)

L’entrée du forum coïncidant avec l’entrée du personnel de l’Hôtel de Ville, un agent de FoméA
se tiendra à votre disposition à cette même entrée, pour pouvoir accéder aux espaces du forum.

L’ensemble des activités du forum sont publiques et gratuites.


Participants

Fomea 2018, Valerie Arconati

Valérie Arconati
Consultante en gestion de projets culturels, Présidente de l’association Casoart –
Sujet : Survivre au marché de l’art et innover dans son modèle économique – Créatrice d’événements et de scenarii d’expositions, Valérie Arconati réinvente l’action culturelle en accord avec les acteurs économiques et leurs territoires.

Fomea 2018, Rose-Marie Barrientos

Rose Marie Barrientos
Critique et historienne de l’art, membre fondateur de la ligne de recherche Art & Flux de l’Université Paris 1 Sorbonne – Sujet : Alter Economy – Sous ce titre elle regroupe des instances où l’économie traditionnelle de l’art a été altérée. En marge des circuits habituels où s’inscrivent les projets artistiques contemporains, les artistes qui font l’objet de son intervention se donnent comme mission de déjouer le système économique officiel de l’art.

Fomea 2018, Jean-Daniel Berclaz

Jean-Daniel Berclaz
Artiste, directeur du Musée du point de vue (MDPDV) – Sujet : Des pratiques artistiques indépendantes du marché de l’art – Le Musée du point de vue (MDPDV) est une attitude et un lieu où la question du point de vue de chacun est soumise à tous. Son activité consiste à organiser des vernissages à des emplacements qu’il considère comme particulièrement significatifs pour un contexte donné.

Fomea 2018, Gary Bigot

Gary Bigot
Artiste – Sujet : Une économie affranchie / Retraité, c’est à dire en retrait – Allant à contre sens d’une conception de l’artiste devenu obsolète pour lui, l’artiste a adopté dans sa pratique quatre résolutions : pas de production par lui-même, pas de promotion par lui-même, pas de profit pour lui-même, pas de propriété à titre personnel. L’artiste utilise le principe de thermo hygrométrie comme un langage pouvant être développé à l’infini. Sa pratique nécessite une présence active et une véritable implication de la part de son public.

Fomea 2018, Hugo Beheragaray

Hugo Beheregaray
Étudiant à l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy (ENSAPC) – Sujet : La place de l’économie dans les écoles d’art – Son travail s’oriente autour de la notion de convergence des domaines. Il met en application cette notion en travaillant en collaboration avec le restaurant MG kébab. La question est alors de s’intégrer dans ce milieu professionnel afin d’atteindre un publique mixte de consommateurs de kébab et d’art. Il intégre ainsi à son travail des intérêts autres que ceux de l’art.

Fomea 2018, Maxime Brefort

Maxime Bréfort
Avocat spécialisé en propriété intellectuelle et membre du Cabinet Pierrat – Sujet : La propriété intellectuelle dans une pratique sans oeuvre d’art – Titulaire d’un Master 2 en Droit des activités numériques et d’un Master 2 en Droit des obligations civiles et commerciales, au cours duquel il a rédigé un mémoire intitulé « L’importation à l’épreuve du droit d’auteur : analyse de la théorie de l’épuisement du droit de distribution ».

Fomea 2018, Florian Brochec

Florian Brochec
Association des Artistes Postérieurs
Stand de l’association des Artistes Postérieurs L’association propose une gamme de contrats juridiques destinés aux artistes afin de différer dans le temps la divulgation publique de leurs oeuvres. L’association est administrée par des artistes, des juristes et des avocats spécialisés dans le droit d’auteur et la protection des décisions d’artistes. L’artiste a présenté un ensemble de projets à la XVe Biennale de Paris (2006-2008).

Fomea 2018, Vienne Chang

Vienne Chan
Artiste – Sujet : Poetry Inc. et la désobéissance
économique
– Face à une baisse du niveau de vie, que peut-on faire pour reconstruire un bien commun ? Poetry Inc. prend comme modèles les systèmes financiers de certaines entreprises américaines et européennes pour construire des modèles visant le réinvestissement social. L’artiste s’intéresse à l’impact de l’économie sur la sphère sociale et politique dans un état d’esprit de l’économie sociale et solidaire.

Fomea 2018, Serge Foutrier Bielakoff

Serge Foutrier Bielakoff
Enseignant technique à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD) et à l’École Boulle. Sujet : La place de l’économie dans les écoles d’art – L’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, communément dénommée les Arts décoratifs ou les Arts-Déco, est une école d’art et de design. L’École Boulle est un établissement public d’enseignement de la Mairie de Paris, qui est à la fois une école supérieure des arts appliqués et un lycée des métiers d’art, de l’architecture intérieure et du design.

Fomea 2018, Alain Gintzburger

Alain Ginstzburger
Secrétaire Générale de l’Agence Internationale de Remplacement. Sujet : AIR et l’AIRgent – AIR (Agence Internationale de Remplacement) est née d’un constat tout simple : vous ne pouvez être à plusieurs endroits en même temps. Grâce à son équipe de remplaçants, vous pouvez, en cas d’absence, faire appel à un remplaçant professionnel. AIR concevra sur mesure, avec vous, une création unique pour vous représenter. AIR est le remplaçant d’un certain nombre d’artistes contemporains tels qu’Orlan.

Fomea 2018, Michel Charmasson

Michel Charmasson
Artiste et Directeur de l’Institut RED
Ecritures protocoles – RED (Recherche Expérimentation Démonstration) élabore des protocoles de détection et d’identification de certaines pratiques artistiques. L’artiste a créé le premier Colloque international de l’art invisuel en Afrique qui s’est déroulé à Abidjan en 2022. Le colloque souhaite mener une réflexion sur la source de l’art, ses modes de création, ses rémunérations et son fonctionnement. Les présents termes de référence décrivent les objectifs, les résultats attendus et la méthodologie. Ce colloque a été pensé comme un levier pour le devenir de l’art en Afrique libéré des modèles occidentaux.

Fomea 2018, Ludovic de Vita

Ludovic de Vita
Artiste et directeur de l’IRISA
(Institut de Recherche en Anthropologie de la Singularité) – La singularité économique –
Singulariser son économie – L’IRISA a pour objectif d’identifier les critères favorisant l’émergence de la singularité dans les processus de création et d’innovation. L’IRISA a pour vocation une compréhension élargie des phénomènes de singularité permettant aux chercheurs associés, indépendamment de leur domaine de recherche ou discipline de référence, de confronter et de
reformuler leur pratique.

Fomea 2018, Alexandre Gurita

Alexandre Gurita
Artiste invisuel, Directeur de la Biennale de Paris et de l’École nationale d’art de Paris (ENDA). Alexandre Gurita est à l’origine de la notion d’art invisuel qu’il a formulée en 2005. Sujets : Présentation d’économies alternatives au marché de l’art – Formuler des économies parallèles au marché de l’art – L’artiste pratique la « captation institutionnelle », une catégorie d’art invisuel qui consiste à capter des institutions pour les transformer en « institutions critiques de changement ». L’artiste considère le système de l’art comme un matériel de travail. Son travail consiste à œuvrer avec d’autres professionnels à une transformation radicale de l’art en utilisant tous les moyens légaux et allégaux.

Fomea 2018, John Hamon

John Hamon
Artiste – Des pratiques artistiques
indépendantes du marché de l’art – Selon l’artiste c’est la promotion qui fait l’artiste. Pour lui il s’agit du degré zéro de l’art. Depuis 2001, John Hamon se promeut en tant qu’artiste et il définit cette démarche comme de l’art promotionnel.

Fomea 2018, Frédéric Hocquard

Frédéric Hocquard
Adjoint à la Maire de Paris chargé de la vie nocturne et de l’économie culturelle – Sujet : Paris et ses économies – Adjoint à la Maire de Paris chargé de la vie nocturne et de l’économie culturelle (en charge des métiers d’art, de la mode, du design et des commerces culturels). Elu adjoint à la Maire de Paris, il est en charge de toutes les questions relatives à la vie nocturne et à l’économie culturelle.

Fomea 2018, Ariel Kupfer

Ariel Kupfer
Artiste et directeur du Musée Caché – Sujet : Des pratiques artistiques indépendantes du marché de l’art – Ariel Kupfer se présente comme un chercheur. Il est également directeur du Musée Caché créé à Paris en 2015. Fondé à partir des collections de minéraux, d’objets et de micrographies, il vise à stimuler la curiosité comme source d’apprentissage.

Fomea 2018, Olivier Landau

Olivier Landau
Président de l’IRI (Institut de recherche et d’innovation) – Sujet : Les économies du futur –
En 2006, le Centre Pompidou, sous l’impulsion du philosophe Bernard Stiegler, a créé en son sein l’IRI pour anticiper, accompagner et analyser les mutations des activités culturelles, scientifiques et économiques induites par les technologies numériques et pour développer de nouveaux dispositifs critiques contributifs.

Fomea 2018, Ricardo Mbarkho

Ricardo Mbarkho
Artiste et Professeur assistant à l’Académie Libanaise des Beaux-Arts – Université de Balamand. Sujet : Des pratiques artistiques indépendantes du marché de l’art – Il pose comme hypothèse que l’invisuel est un monde de l’art alternatif dans lequel existe une relation dynamique entre pratiques artistiques et pratiques non-artistiques. Il évoque implicitement la notion d’« inter-économie », ou encore celle d’une économie parasite qui se nourrit d’économies extra-artistiques.

Fomea 2018, Antoine Moreau

Antoine Moreau
Artiste enseignant-chercheur, maître de conférences en Arts à l’Université de Franche-Comté, Montbéliard. Sujet : La propriété intellectuelle dans une pratique sans oeuvre d’art – Initiateur de Copyleft Attitude et de la Licence Art Libre, Antoine Moreau pose la question du droit d’auteur au sein de son travail et de ses expositions personnelles. Dans quelles conditions un « commun artistique » peut-il s’élaborer ? Comment un artiste peut-il ne plus produire d’oeuvres d’art ? Il y a-t-il une économie propre à l’art ?

Fomea 2018, Corina Mila

Corina Mila
Chercheuse en littérature et art associée avec la Biennale de Paris, Doctorante en Littérature Générale et Comparée. Sujet : La dimension économique des pratiques invisuelles – Mise en exergue des alternatives viables des micro-économies dans la cadre de l’art invisuel et analyse de ces microstructures sur l’échelle de la macrostructure. Approche marxiste du capitalisme comprenant les mutations que la contemporanéité économique exige.

Fomea 2018, Baptiste Pays

Baptiste Pays
Artiste et Responsable de l’agence Global Screen Shot (G.S.S.) – Sujet : Infraposte : exclusivité économique – Global Screen Shot est une agence pour l’emploi des artistes et de l’art. Elle développe à travers la notion d’« infraposte » des politiques d’emploi répondant principalement à des situations de reconversion. Son rôle est de prospecter de nouveaux terrains d’expérimentations quant au statut et au travail de l’artiste. L’objectif de GSS est ainsi d’ouvrir aux artistes et à l’art une porte d’entrée dans la société.

Fomea 2018, Jerome Poggi

Jérôme Poggi
Les Nouveaux Commanditaires – Sujet : Le monde de l’art, un secteur économique à part entière – Jérôme Poggi a fondé Societies qui réfléchit à des modèles innovants de politique économique pour l’art, expérimentant de nouvelles formes de commerce entre l’art et la société. Ces modèles dépassent les cadres conventionnels de l’institution et du marché. Societies développe notamment l’action des Nouveaux Commanditaires en Ile-de-France avec le soutien de la Fondation de France.

Fomea 2018, Jean-Louis Poitevin

Jean-Louis Poitevin
Philosophe, écrivain, critique d’art et rédacteur en chef de la revue TK-21 – Sujet : Des pratiques artistiques indépendantes du marché de l’art – Docteur en philosophie, il est également l’auteur de nombreux livres et articles sur l’art contemporain en particulier et sur la littérature, mais aussi de fictions. De 1998 à 2004 il a dirigé les Instituts Français de Stuttgart et d’Innsbruck.

Fomea 2018, Jacques-Antoine Ribas

Jacques-Antoine Ribas
Artiste – Sujet : Infraposte : exclusivité
économique – Etudiant à l’école nationale d’arts de Paris Cergy, Jacques-Antoine Ribas considère son véritable atelier en dehors de ses murs. Manutentionnaire à Auchan, il s’est doucement infiltré, jouant le jeu d’une personne inoffensive et maladroite. Il a ainsi créé un écosystème lui permettant d’agir subversivement au sein et en dehors des limites de son poste. Il est Employé-Libre Service.

Michel Schalamon
Collectif de l’Après – Stand de l’Après –
Émancipée du cadre strictement esthétique, la porosité naturelle entre création et interrogation est évidente et nécessaire. Considérant l’état de nos sociétés et de leur évolution, la création artistique peut et doit interroger notre société. Cette interrogation ne doit pas se limiter à la caricature dénonciatrice. Cette interrogation doit pouvoir se projeter vers un « Après ».

Fomea 2018, Adele Singh

Adèle Singh
Avocat à l’association des Artistes Postérieurs
Sujet : La propriété intellectuelle dans une pratique sans oeuvre d’art – Stand de l’association des Artistes Postérieurs

Fomea 2018, Sylvain Sorgato

Sylvain Sorgato
Artiste et commissaire d’exposition – Sujet : Le monde de l’art, un secteur économique à part entière – Cacahuète d’Or 2016, Sylvain Sorgato est un artiste contemporain et commissaire d’exposition.

Fomea 2018, Elodie Ternaux

Elodie Ternaux
Consultante en matériaux innovants, Co-fondateur chez hyloh – Les économies du futur – Ingénieur et designer industriel, Elodie Ternaux est diplômée de l’INPG (Institut National Polytechnique de Grenoble) et de l’ENSCI – Les Ateliers (Ecole Nationale de Design Industriel de Paris).

Fomea 2018, Coraly Suard

Coraly Suard
Artiste et présidente de UnlimiTEDForms – Sujet : Imaginez des futures économies de l’art! – Table-ronde réunissant des chercheurs en nouvelles économies et en innovations technologiques. La table-ronde est un moment privilégié de partage et de présentation des recherches de chacun des invités auprès du public, suivie d’un brainstorming qui consiste à implémenter leur visions de l’économie dans le champ de l’art.


Organigramme

L’équipe de la première édition du Forum mondial des économies de l’art (FoméA) :

Directeur : Alexandre Gurita
Responsable des programmes : Baptiste Pays
Coordinatrice : Chloé Coppalle
Communication visuelle : Tom Bücher
Communication audiovisuelle : Caroline Henry
Coordination avec la Mairie de Paris : Anaïs Boutard
Conseil : Harold Barme, Andréa Fontaine, John Hammon, Jacques-Antoine Ribas
Diffusion
Co-coordinateur diffusion : Alan Argento – Co-coordinatrice diffusion : Rose Léotard – Radio : Chrystalle Karges
TV : Ermance Dhermy – Presse écrite : Victoire Cervoni – Web : Samantha Ferrec – Réseaux sociaux : Sohyun Kim


Documents associés

Programme

Dossier de presse

Flyer

Affiches
L’art peut-il réinventer son économie ?
L’art est-il asservi au marché ?